La périostite

Il s’agit d’une blessure courante chez les débutants. Des douleurs surviennent au niveau du tibia après l’effort. Elle peut durer pendant 3 à 4 jours. La périostite résulte d’une surcharge trop importante de la chaîne inférieure de la jambe. Le changement de chaussure peut favoriser cette blessure.

Une poche de glace permettra de soulager les douleurs. Vous pouvez également réaliser un cataplasme à base d’argile. Changer de mode d’entraînement reste primordial pour éviter la blessure lors des prochains exercices.

L’entorse à la cheville

Cette blessure est très courante chez les coureurs. Vous pouvez en être victime en courant sur une surface inégale. La cheville enfle et devient douloureuse. Mettez vite de la glace sur la zone douloureuse et arrêtez de courir jusqu’à ce qu’elle se désenfle.

La tendinite d’Achille

Cette blessure affecte la tendinite d’Achille. Elle se manifeste par une douleur intense des tendons. Elle peut être due à un entraînement excessif, au surpoids ou en portant des chaussures non adaptées à la course. Les douleurs peuvent s’intensifier et persister selon la profondeur de la blessure.

Un grand repos accélérera la guérison pour éviter que la blessure ne s’aggrave. Dans certains cas, le médecin peut prescrire un antalgique pour soulager les douleurs.

La fasciopathie plantaire

Celle-ci se manifeste par l’irritation du fascia, un tissu permettant aux orteils d’être attachés aux pieds. L’arc du pied et le talon peuvent être douloureux quand elle se manifeste. Elle est due à une pronation du pied suite à une course de longue distance. Il est important de changer de chaussures de course le plus régulièrement possible. Cette blessure nécessite une prise en charge sérieuse.

Quel genre de sport est l’escalade ?

L’escalade est aussi connue sous le nom de grimpe. Elle fait partie des sports extrêmes les plus pratiqués. Elle consiste à escalader tout le long d’une paroi. L’objectif est alors d’atteindre le sommet d’une montagne ou d’un relief, mais le terrain d’escalade peut être artificiel. Par ailleurs, la pratique de ce sport nécessite de grands efforts physiques. Elle appartient d’ailleurs aux activités sportives à part entière. Pour l’exercer, il est donc important de vous munir des équipements indispensables. Parmi eux, il y a les chaussons dédiés à ce type de sport. Une tenue près du corps est également recommandée pour éviter de gêner vos mouvements. Vous pouvez utiliser, ou pas, des matériels pour le pratiquer. Cependant, il est toujours conseillé de se munir de matériels de sécurité pour protéger votre vie.

Où pratiquer ce sport ?

Il y a deux types d’endroits qui sont réservés à la pratique de l’escalade : les murs artificiels et les montagnes.

L’escalade indoor

Les murs artificiels dans les salles de sports sont parfaits pour ceux qui n’ont pas assez de temps pour aller aux montagnes.

L’escalade outdoor

Si vous êtes un passionné de la nature, l’escalade dans les montagnes est une excellente activité pour vous. En plus, vous avez un large choix sur le lieu. Il suffit d’organiser votre sortie et vous pouvez vous amuser tout en faisant du sport.

Les avantages de faire de l’escalade

L’escalade apporte plusieurs avantages puisqu’elle est une activité sportive complète. Lorsque vous pratiquez ce sport, vous pouvez en effet vous muscler au niveau des bras, des cuisses et des épaules. L’escalade oblige aussi les muscles vos abdominaux, votre dos et vos fesses à se contracter pendant un moment. En outre, elle permet de brûler beaucoup de calories grâce aux efforts physiques appliqués. Un autre avantage est le gain d’équilibre. Si vous voulez développer votre équilibre, l’escalade est donc le sport idéal. Si vous faites partie des personnes ayant des vertiges, vous pouvez les combattre à l’aide de ce sport. Le plus important, l’escalade est le meilleur moyen de contrôler votre stress.

Les bienfaits du vélo électrique

La pratique du vélo électrique exige peu d’effort, néanmoins, ce n’est pas insignifiant. Le pédalage qui consiste à répéter un mouvement de flexion et d’extension est bénéfique pour la santé. Cela permet de faire bouger les jambes et d’éviter l’obésité si vous êtes plutôt sédentaire ou déjà âgé. De plus, cette activité est accessible à tout le monde. Par ailleurs, si vous pratiquez régulièrement et intensément, pendant plus de 30 minutes, il peut vous aider à perdre du poids et à avoir un bon rythme cardiaque. Le vélo électrique est alors un moyen de locomotion facilitant l’activité. Cette pratique apporte également des bienfaits psychiques en stimulant la production de l’hormone du bonheur, la sérotonine, dans notre organisme. Elle peut donc vous aider à rester de bonne humeur. Puis, votre cerveau sera mieux oxygéné, ainsi votre concentration et votre mémoire seront améliorées. En outre, selon les experts, faire du vélo électrique diminue considérablement le risque de diabète de type 2. Si vous désirez un vélo électrique de bonne qualité, vous pouvez privilégier le vélo électrique KTM.

Quel autre sport pratiquer avec le vélo électrique ?

Puisque le vélo électrique fait surtout travailler le bas du corps, les jambes et les cuisses, l’idéal est de le concilier avec une autre activité qui fait bouger le haut du corps. Vous pouvez par exemple faire de la natation avec le vélo électrique. La natation est une activité sportive qui présente peu de risques d’accident, mais qui fait travailler plusieurs parties du corps à la fois. De plus, ce sport permet de travailler la souplesse, l’endurance et la puissance. Sinon, vous pouvez aussi faire de la course à pied avec des passages sur des escaliers pour travailler encore mieux les quadriceps et les mollets. Le vélo électrique et la course à pied sont deux activités complémentaires permettant de garder l’intégrité physique. Enfin, un sport d’équipe comme le basket-ball ou le volley-ball peut également être tout à fait cumulé avec le cyclisme. De plus, ces sports font aussi travailler les bras et le haut du corps. Les sports d’équipe permettent des échanges et encouragent la cohésion de groupe ainsi que le partage. Toutefois, il faut faire très attention et bien s’équiper quand on pratique un sport d’équipe, car il y a plus de risques d’accident et de blessures à cause des contacts et des chocs entre les joueurs.

Le vélo électrique est très économique

De nos jours, un vélo électrique, haut de gamme et bien équipé, coûte environ 2000 €, et un bi-porteur électrique de qualité Amsterdam Air, permettant de transporter en toute sécurité des enfants, coûte aux alentours de 2800 €. Ces prix paraissent élevés pour une bicyclette motorisée. En analysant bien les choses, on peut dire que le vélo électrique est un mode de transport économique sur le long terme, puisque vous n’aurez pas à acheter de l’essence à chaque déplacement, ni à payer des frais d’assurance tous les mois. De plus, le coût d’entretien d’un vélo est moindre que celui d’une voiture. Vous pouvez aussi jouir d’une subvention de 20 à 25 % sur son prix, c’est-à-dire environ 400 euros, lors de l’achat.

Le vélo électrique avec batterie résistante : mode de transport écologique

En général, les batteries d’un vélo à assistance électrique peuvent résister jusqu’à 200 km de parcours, ce qui est vraiment automne. Un vélo électrique permet de rouler plus vite, par rapport à un vélo traditionnel sans pour autant demander un grand effort de la part du cycliste. En cas de panne de batterie, vous pouvez le recharger rapidement et facilement sur une prise électrique. Notons d’ailleurs que les batteries des vélos motorisés sont semi-passives, c’est-à-dire qu’elles ne fonctionnent que lorsque vous pédalez, ce qui permet d’économiser de l’énergie. Par ailleurs, le vélo électrique est écologique, puisqu’il ne présente pas de danger pour la planète. En effet, il n’émet presque pas de gaz à effet de serre et aide à réduire le niveau de pollution, surtout en ville. C’est alors un compagnon de route à l’énergie verte. Le VAE n’émet pas non plus de bruit agaçant, et ses batteries sont récupérables. Puis, n’oublions pas de mentionner le fait que rouler à vélo électrique permet d’esquiver les embouteillages en centre-ville, et donc de parcourir plus rapidement un trajet. Enfin, avec un vélo motorisé, vous n’aurez pas de mal à trouver une place de stationnement, quel que soit l’endroit où vous vous trouvez.

Les avantages sur la physionomie

Le jogging retarde le vieillissement. En courant, on transpire beaucoup et cela contribue à l’élimination des déchets et graisses qui resserrent les pores, c’est également un facteur de perte de poids. Comme il rajeunit, il assure aussi la longévité. Le jogging remet en forme physiquement, voire garde la ligne de l’individu. Il aide aussi à renforcer les os et les muscles.

Les bienfaits au niveau de la santé

La course à pied améliore la santé. Il joue un grand rôle au niveau de la circulation sanguine.
Le jogging favorise la respiration et le système pulmonaire. Cette épreuve régularise le taux de glycémie dans le corps. Cette activité physique limite la dégradation des os quand on approche de la cinquantaine. Il permet de boire davantage d’eau qui est nécessaire pour notre corps.

Les atouts psychologiques

En courant, le corps sécrète des endorphines qui sont communément appelées les hormones du bonheur. Cette hormone génère du bien-être physique, mais aussi corporel et psychologique. L’estime de soi après une séance de jogging affecte systématiquement la personne. Il réduit les angoisses et le stress. Le jogging assiste à l’organisation du planning dans la vie quotidienne. Ceci opère au niveau du sommeil équilibré qui est très important pour l’être humain. Cependant, le cerveau se détend et se trouve dans un état hypnotique qui lui permet de solutionner les soucis sans besoin de faire de gros efforts. Le jogging supprime les ondes négatives par le biais du cerveau. La paix et la sérénité de la personne sont alors effectives. Classé comme loisir, il est un outil antidépresseur nécessaire, c’est une activité aux multiples bénéfices mais qui est surtout accessible à tout le monde.

La natation

La natation est le sport par excellence pour soulager un mal de dos. Cette dernière offre un bon gainage musculaire et un étirement naturel de la colonne vertébrale, contribuant ainsi à apaiser rapidement la lombalgie. Ainsi, il convient de pratiquer la brasse coulée exclusivement pour éviter de cambrer le bas du dos au risque de fragiliser encore plus les lombaires.

Le yoga

Le yoga permet d’étirer la colonne vertébrale en douceur, de retrouver une tonicité et d’acquérir une certaine souplesse. Celui-ci, associé à des exercices respiratoires, permet aussi de relâcher les contractions musculaires pour calmer efficacement le mal de dos.

Le stretching

Ce sport combine à la fois la musculation et l’étirement des ligaments et des tendons. Il est idéal pour soulager le mal de dos.

la marche

La marche permet de muscler son dos en douceur en étant lente ou rapide à condition de soigner ses appuis, c’est-à-dire d’être bien chaussé et d’avoir les pieds bien stables. Favorisez surtout les terrains souples comme lors d’une randonnée en campagne.

Le gainage ou la gym de dos

Il permet de renforcer l’ensemble des muscles paravertébraux et abdominaux qui protègent notre dos. Ce dernier mobilise en synergie plusieurs groupes musculaires. Par conséquent, il agit sur les muscles profonds et soulage en profondeur le mal de dos.

Le vélo

Comme pour la natation, le vélo est un très bon sport pour soulager le mal de dos, car il libère la colonne vertébrale et les articulations du poids corporel. Idéalement, il faut être le plus droit possible sur sa selle.

L’âge minimum

Si vous souhaitez inscrire votre enfant à des cours de bébés nageurs, il est primordial de respecter l’âge minimum. Les médecins conseillent souvent d’attendre les vaccins du 3e ou du 4e mois avant de l’initier à la natation. Toutefois, si vous avez peur pour votre bébé, il faut alors attendre ses 6 ans pour commencer à l’apprendre à nager.

La préparation de la sortie de piscine

Pour une première séance en milieu aquatique, il faut penser à emporter des couches spéciales piscine, un peignoir de bain, une serviette éponge ou encore des jouets. Pensez également à mettre dans votre sac un biberon chaud ou un petit en-cas. Une ceinture de flottaison est préférable par rapport aux brassards. Ayant une peau sensible au chlore, n’oubliez pas d’emporter avec vous une crème hydratante pour bébé.

Le choix de la piscine

Avant de vous lancer, l’un des facteurs à prendre en compte est la qualité de la piscine. Il est recommandé de se renseigner sur la température de l’eau. En principe, la température de l’eau idéale est de 32 °C. Dans le cas échéant, si la température de l’eau est en dessous de 32 °C, vous devez sortir de l’eau toutes les 10 minutes afin de réchauffer votre bébé. Par rapport aux adultes, les bébés ont de la difficulté à réguler leur température.

Savoir écouter votre enfant

Il est important d’être attentif à la réaction de votre bébé lorsque vous vous trouvez dans l’eau. Il ne faut pas forcer votre enfant, si vous le trouvez réticent ou déstabilisé. L’idéal est de sortir de l’eau, de le réchauffer et d’essayer un peu plus tard. En le forçant, vous allez risquer d’avoir un effet contraire. Autrement dit, votre bébé va associer la piscine à un événement négatif.

Bien tenir le club

Il existe plusieurs façons de tenir un club de golf. L’importance est que vous soyez à l’aise avec la technique utilisée. Néanmoins, il y a des astuces que vous devez adopter pour bien frapper la balle et maximiser votre distance. Pour ce faire, il faut saisir le club délicatement, mais assez fermement pour tenir le contrôle. Selon des experts, sur une échelle de 1 à 10, vous devez tenir votre club approximativement à 4. Tout au long de votre swing, une pression d’adhérence doit être maintenue.

Avoir la bonne posture

Il est important de maitriser sa posture au golf. Il faut positionner vos pieds en sorte que votre pied avant soit légèrement en avant de la balle. Vos pieds doivent être légèrement plus écartés que vos épaules. Pour que la tête de votre club touche la balle quand vous tendez les bras, vous devez vous rapprocher suffisamment de la balle. Vous devez vérifier votre alignement pour ne pas rater la cible. Il s’agit de la direction ou de l’orientation de vos épaules et vos pieds. Au moment du swing, fléchissez légèrement vos genoux.

Le Swing

Le swing est composé de l’enchainement de deux mouvements. Le backswing est la partie pendant laquelle vous amenez votre club au-dessus et légèrement derrière votre tête. Vous devez faire pivoter votre torse au moment du backswing. Le deuxième mouvement qui s’appelle downswing, consiste à amener la tête de votre club le plus loin possible puis de laisser s’agrandir un angle entre la manche et l’avant-bras jusqu’à 90°. Ensuite, il ne faut pas essayer de frapper la balle trop forte. Mais vous devez dérouler rapidement votre bras dans la zone d’impact.

Le sport qui vous convient

Si ce sport en question est un sport pratiqué dans l’eau, il est vital que vous en parliez clairement avec votre médecin avant de commencer. Lequel vous attire le plus ? Les sports de piscine, les sports d’eau vive, les sports de navigation ou les sports subaquatiques ? Tous ont des avantages indéniables. Maintenant, il faut que vous choisissez celui qui convient à votre corps et à votre santé mais aussi à vos envies. Car le sport sans plaisir est bénéfique, bien sûr, mais apporte moins qu’un sport que vous pratiquez sans contrainte, avec enthousiasme et joie.

Faites connaissance avec quelques sports aquatiques

Parlons en premier des sports subaquatiques. Comme leur appellation l’indique, ce sont tous les sports nautiques pratiqués sous l’eau. Parmi eux, il y la plongée sous-marine. Peut-être connaissez-vous quelqu’un qui pratique de la plongée sous-marine. Ce n’est pas donné à tout le monde d’en faire autant, mais avec de la volonté et de la persévérance, et si votre état le permet, vous pouvez au moins essayer. L’apnée est un peu plus « hard » et requiert beaucoup d’entraînement et de très nombreux exercices. Ne vous y lancez jamais sans une excellente préparation et sans l’encadrement d’un moniteur, car ce type de sport subaquatique peut être mortel ou provoquer des dégâts très graves au niveau de votre cerveau et d’autres organes de votre corps. Vous pouvez aussi essayer le hockey subaquatique, qui se joue exactement comme le hockey sur glace mais sous l’eau. Naturellement, les conditions diffèrent, rendant le jeu plus complexe, mais plus excitant aussi. Parlons à présent des sports d’eau vive, autrement dit les sports dans les rivières à courant, qu’elles soient naturelles ou artificielles. Les plus connus sont le canyoning, le kayak, le rafting, le canoë et l’hydrospeed. Etant donné la dangerosité de ces sports, vous devez toujours vous faire accompagner d’un moniteur professionnel.

Les sports de piscine

Ce sont les sports nautiques les plus populaires car plus sécurisés. Vous avez un large choix entre la natation qui comprend la brasse, le crawl, le papillon et le dos, le water polo, le plongeon, et la natation synchronisée. Tous ceux-ci figurent parmi les disciplines olympiques, au cas où cela vous intéresserait de passer à un plus haut niveau. Mais si vous ne souhaitez pas faire de la compétition, vous pouvez opter pour l’aquagym et ses dérivés. Quant aux sports de navigation, ils se pratiquent soit en mer, en plein océan ou sur les lacs. Il y a le surf, l’aviron, le ski nautique, la planche à voile, le kitesurf, le wakeboard etc.

Assurer le confort du pied

Avant d’opter pour des patins à glace, l’un des critères à considérer, est le poids. Le soutien, le confort ainsi que la protection, sont complètement dépendants de l’assemblage des différents matériaux utilisés. Plus un patin est solide, plus il pourra être utilisé par un patineur. En ce qui concerne les lames, plusieurs variantes existent selon l’usage : lames de style libre, lames hybrides, lames de figure, etc. Il est plus aisé d’enfiler des patins à glace ayant une pointure et demie de moins que la pointure de chaussures ordinaires. Lorsque le patineur est debout, ses orteils ne devraient pas atteindre l’extrémité du patin et la chaussure devrait bien s’adapter à la forme du talon. Enfin, la botte doit être suffisamment rigide pour maintenir la cheville.

Choisir des patins à glace selon votre sport

Le hockey exige des patins à la fois confortables et légers. Le pied et la cheville doivent être parfaitement soutenus. C’est pourquoi pour ce sport, les patins ont la plupart du temps 9 passes chacune. La lame de ce type de patins est spécialement conçue pour le casernement agressif. Pour le patinage artistique, un patin à arbre haut est requis. Il dispose de 9 œillets qui ont pour rôle de maintenir les chevilles. Les mousses dans les chaussons améliorent le confort. Elles sont donc très utiles. Pour que les figures réussissent, il faut que les lames assurent une stabilité maximale. Pour ce qui est de la pratique pour les loisirs, un patin à structure articulée serait parfait. Ce modèle suit le pied dans ses mouvements. Il est également recommandé de mettre une solide doublure et une languette en mousse.